Les tableaux accrochés aux murs du musée seul semblaient enraciner Adrien, immobiles et silencieux, mais porteurs d’un miroir poignant. Il connaissait l’art, la pratique des anciens maîtres, la façon avec laquelle les pigments réagissaient à la luminosité et au vies. Pourtant, aucune prétexte rationnelle ne pouvait justifier ce qu’il voyait. https://spencerpxade.rimmablog.com/32942702/l-effacement-graduel