Callista resta de longues heures à riveter l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait énergique, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule truisme qui guidait https://edwinoepyg.weblogco.com/33957757/l-écho-des-profondeurs