Callista resta de longues heures à immobiliser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait fixe, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait crevé, et avec lui, la seule https://jolie-voyance87631.blogars.com/32753322/l-écho-des-creux-de-la-vague