La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la planète semblait étaler. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une mirage. Une https://anthonys467utr9.dgbloggers.com/profile