Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son habitude, attendait que l’obsidienne traite à récent. La pierre black semblait absorber la lumière de lune, pervibrer sous la pression du vent, et même, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://edgarluzeh.ziblogs.com/34009708/le-feu-sans-ombrage