Dans l’enceinte parfaitement hermétique du centre d’appels, les vendeurs continuaient à répondre aux sollicitations sans noms, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre application extrême et indigence diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil psychique. Aucun contact visuel, https://charlielwdil.digitollblog.com/33775784/le-foyer-qui-ne-vieillit-pas