Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute conscience botanique. Les fleurs du mal continuaient de instiguer au fil des semaines, chacune porteuse d’un éclat intérieur, indiscernable mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, faisant le choix les pétales en tenant compte de leur forme, https://louistyasa.myparisblog.com/34577274/la-tige-interdite