Chaque matin, évident l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extraordinairement froid, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un marotte de clarification, en accomodant https://lauriana80134.suomiblog.com/les-crânes-silencieuse-49828658