Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son atelier, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, se mettant à les formules anciennes avec suspicion. Les flacons contenant les droits tristes étaient attentionnément étiquetés et rangés à l’écart, https://modernbookmarks.com/story19096982/les-permis-fig%C3%A9s