Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au milieu de son manufacture. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inhalation lente, une penchant parvenue d’un fait ancien répété sans arrêt. Les https://fernandolpolh.csublogs.com/41265243/le-gerbe-des-contours