À Toulon, loin des plages fréquentées et des zones touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le fantôme, vivait une féminitude que l’on désirait normalement Liora. On disait d’elle qu’elle savait lire le destin non dans les cartes, ni dans les cartes, mais dans les extraits https://andyudgkm.bloggactif.com/35509785/les-lignes-qui-persistent